mardi 20 mai 2025

PROGRAMME 2025 STAGES D'ÉCRITURE colorés de stylistique

Enfin le retour des stages d'écriture !

Tout le programme 2025 est disponible ci-dessous, avec les renseignements associés :


STAGES D'ÉCRITURE

COLORÉS DE STYLISTIQUE

de Sébastien HATON
de 14h00 à 18h00, un samedi par mois

+ une séance spéciale le dimanche 31 août sur journée complète

année 2025


Samedi 31 mai L’IMAGINATION

Inventer des histoires, sortir du vécu, imaginer des êtres, des objets, des situations ou des lieux inconnus... C'est tout l'objectif de cette séance où il sera aussi question de fantastique, de contes, de science-fiction ou simplement d'intrusion du surnaturel dans le réel.

Par la pratique, j’essaierai de vous démontrer que votre imagination existe et ne demande qu’à s’exprimer !


Samedi 28 juin PLANTER LE DÉCOR

Une séance pour préparer un grand récit en créant les personnages, la chronologie, en anticipant les différentes parties de l'histoire, etc. Quel travail d'écriture fait-on (ou peut-on faire) avant de démarrer la rédaction proprement dite ? Comment bien démarrer pour faciliter le travail du récit.

Bien entendu, nous ne nous contenterons pas de planter le décor, nous entrerons également dans le récit proprement dit.


Samedi 26 juillet DÉCOUVREZ VOTRE STYLE 1

Une séance qui vous permettra d’effleurer la connaissance de votre propre style.

Connaître son style, c’est difficile, c’est complexe, car le style est polymorphe et insaisissable. Dans cette séance, j’essaierai de vous le faire toucher du doigt de façon ludique et étonnante.


Samedi 30 août ÉCRIRE… ENSEMBLE !

Le plaisir et l’amusement d’écrire à plusieurs, mais aussi ses difficultés : poursuivre le récit d’une autre personne, faire des cadavres exquis, entrer dans les histoires des autres, mélanger des récits, échanger des contraintes, tirer au sort les mots obligatoires de la voisine ou encore imposer un thème. L’occasion de se laisser surprendre sans sourciller.


Dimanche 31 août SÉANCE DOUBLE SPÉCIALE LIVRE D’ARTISTE avec Véronique Lafont

Le matin, écriture avec Sébastien pour préparer le texte du livre

L’après-midi, mise en forme et confection avec Véronique pour créer l’objet-livre


Samedi 27 septembre CONSTRUIRE UN ROMAN DE A à Z

Vous avez envie d’écrire une grande histoire, mais vous ne savez pas par où l’aborder ? Ou bien vous l’avez commencée, mais le travail vous submerge ? Cette séance est faite pour vous.

En ayant à l’esprit d’écrire une histoire complète, comme un roman, ce stage est destiné à montrer comment préparer le récit, comment s’y plonger et mener le projet à son terme. Une façon ludique et dédramatisante d‘aborder cette montagne.


Samedi 25 octobre CHANGER DE VOIE/VOIX

Changer de voie et de voix, c’est le lot de tout auteur. C’est parfois nécessaire et toujours intéressant.

Exploration de l'écriture à plusieurs voix/voies, en étudiant le point de vue de plusieurs narrateurs sur une même scène, en envisageant plusieurs suites possibles à un récit d'autre part… ou plusieurs débuts à une même fin, en explorant plusieurs époques, en changeant les décors, en inversant les genres... Un thème riche et multiforme, à (re)découvrir.


Samedi 29 novembre SUIVEZ LE GUIDE !

Pour le plaisir d’écrire uniquement.

Une séance totalement ludique et loufoque où les contraintes d'écriture s'enchaînent sous la direction du hasard et des petits papiers de l’animateur.


Samedi 20 décembre PARLER DE SOI

Souvent, le désir d’écrire vient d’un souhait conscient ou inconscient de parler de soi, de témoigner de son passage ici-bas. Tout auteur continue toute sa vie à parler de lui-même...

Comment écrire sur soi ? L’écriture intime, se dévoiler, raconter ses souvenirs. De l’autofiction à l’autobiographie, du storytelling au souci d’exactitude, du mensonge organisé à l’illusion de sincérité, je vous proposerai une plongée dans les arcanes du « parler de soi ».


Je vous propose des séances joyeuses et détendues, lors desquelles la jubilation d'écrire et le bonheur d’apprendre sont permanents, sans nous priver du plaisir de lire (et d’entendre) pour celles et ceux qui le souhaitent.

Aucun prérequis nécessaire, aucune obligation de suivi ;

les stages sont indépendants les uns des autres.

RENSEIGNEMENTS ET INSCRIPTIONS :

par courriel sebhaton@gmail.com - par téléphone 06 33 04 93 07

Places limitées, réservation obligatoire

TARIFS

60 € le premier stage

50 € à partir du 2e stage de la même année

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100 € le stage livre d’artiste du dimanche 31 août


À 10 km d'Avallon, 89440 Sainte-Colombe


 



dimanche 26 janvier 2025

LABADENS - 2 représentations à Auxerre le dimanche 09 février 2025

 

Pour réserver une place (ou plusieurs) pour mon spectacle LABADENS que je jouerai à La Scène des Quais à Auxerre le 9 février, suivez ce lien et cliquez sur l'affiche de mon spectacle en faisant défiler jusqu'à la date du 09/02 :
Possibilité de réserver aussi par téléphone ou par e-mail !
06 95 93 73 31
reservation@lascenedesquais.fr
Deux représentations le même jour :
dimanche 09 février
à 10h30 : jeune public et adultes, à partir de 10 ans
à 17h30 : tous publics
LABADENS – La langue t'appartient
🥳😅🤡 ✍️ 🥁🥁🥁
"La langue t’appartient met en scène la langue française, venue ‘en personne’ et ‘en langue’ éveiller le désir et l’amour d’elle auprès du public.
En se présentant comme un être vivant, elle se met à hauteur d’humains et se raconte sans fard ni compromission.
De manière ludique, joyeuse, parfois légère et comique, Labadens - La langue t’appartient a un objectif didactique constant, l’auteur-interprète partant du principe (éprouvé) qu’on apprend mieux en s’amusant."

L'affiche officielle du spectacle
LABADENS



dimanche 17 novembre 2024

Le 06 décembre prochain, j'aurai la joie de me produire à Noyers, 11 ans après ma dernière intervention dans ce magnifique village, dans le nouveau et superbe bistrot socio-culturel associatif La Belle Epoque, qui mérite d'être connu.

Donc, n'hésitez pas à venir le découvrir à l'occasion de cette ludio-conférence que je consacre aux figures de style, l'une de mes passions linguistiques.


ANANTAPODOTON : Soit La Belle Époque est le meilleur lieu pour une conférence, mais ça se discute.
ANASTROPHE : Venir à Noyers le 6 décembre, tu dois.
LAPALISSADE : Le 6 décembre, ce sera le lendemain du 5.
etc.



mardi 24 septembre 2024

dimanche 19 mai 2024

CALENDRIER de mes futures manifestations

Du 5 au 30 juin, je propose :


1 MOLOGUE

- Dimanche 23 juin, 15h à 17h : 2e MOLOGUE à la Tour BeurdelaineLe patinage sémantique


2 ATELIERS D'ECRITURE RECURRENTS

- Mardi 11 juin, 17h à 19h

- Mardi 25 juin, 17h à 19h


2 ATELIERS DE LINGUISTIQUE VIVANTE

- Mercredi 12 juin, 18h à 20h : Atelier Linguistique Vivante à la Maison Hirondelle

Mercredi 26 juin, 18h à 20h : Atelier Linguistique Vivante à la Maison Hirondelle


1 MANIFESTATION ARTISTIQUE COLLECTIVE

- Samedi 22 juin, toute la journée : Chemin des Arts, chemin du château d'Alger, 89200 Avallon, restitution des travaux en atelier théâtre avec les enfants de la Ferme Rousseau, avec l'association EVEA, Les Eveillés du Val, Environnement et Arts.


1 STAGE D'ECRITURE

Samedi 29 juin, 13h30 à 18h : Stage d'écriture, séance surprise !


ET LE PETIT PLUS...

- Samedi 15 juin, à partir de 11h : Vernissage d'œuvres de Véronique Lafont à l'Atelier 62 d'Avallon


Me contacter pour tout renseignement, inscriptions, etc.

lundi 13 mai 2024

VERBE au VERT, blog officiel

Cette publication marque l'inauguration de L'envers du verbe en tant que blog officiel de mes activités professionnelles.

Le premier semestre 2024 aura été marqué par de nombreux changements en la matière : abandon volontaire ou ralentissement progressif de certaines activités, accentuation attendue d'autres et surtout début de nouvelles aventures.

Petit rappel historique du Verbe au Vert :

2015, je crée ma microentreprise et pendant plusieurs années, je fais essentiellement du soutien scolaire, de l'accompagnement littéraire et de la rédaction-correction pour entreprises

2018, c'est le début de la grande aventure des ateliers d'écriture et de linguistique, en milieu associatif ou à domicile

2021 a été marquée par le démarrage de mes chroniques linguistiques sur France Bleu et de mes vidéos Youtube sur la chaîne La Langue t'appartient

2022 a été marquée par la création de mon premier spectacle Labadens-La langue t'appartient et la découverte de la scène en solo et, surtout, en professionnel

2023 a été une année de transition durant laquelle j'ai beaucoup écrit avec des objectifs clairs : montrer plus à court terme. C'est aussi l'année d'une expérience hors du commun, un atelier d'écriture théâtrale dans un centre pour adultes handicapés, avec à la clé une représentation publique d'une intensité folle

2024 voit l'apparition des MOLOGUES, véritable catalogue de prestations scéniques dont la première représentation a été donnée en public le 11 mai dernier à la Tour Beurdelaine d'Avallon, et aussi l'augmentation de la fréquence des stages d'écriture et des chroniques radio

Désormais, mes activités professionnelles vont s'articuler autour de trois domaines :

- Les MOLOGUES, conférences et spectacles à la demande

- Les ATELIERS et STAGES d'écriture ou de linguistique, pour les particuliers, les comités d'entreprise, les collectivités, tous âges confondus

- La REDACTION-CORRECTION de tout type de document, compris l'accompagnement de projet littéraire et le récit de vie

Ceci sera détaillé et organisé petit à petit dans ce blog nouvelle formule. N'hésitez pas à demander tout renseignement complémentaire.

dimanche 7 janvier 2024

Dites-moi que vous voulez que ça change

J’ai longuement hésité avant d’écrire cet article, cherchant l’angle d’attaque idéal pour faire passer mon point de vue tout en me démarquant de la majorité des publications actuelles sur le sujet qui se concentrent sur un nom, une personnalité, une carrière, qui pour le défendre, qui pour le démolir, alors que le problème est ailleurs.

Le problème n’est pas un homme, ça ne peut pas être qu’un homme.

Le problème n’est pas qui il est et ce qu’on doit faire de son nom, de ses honneurs, des œuvres où il apparaît ou des statues qu’on lui a érigées, selon l’homme en question, car la médiatisation des cas livre des noms ponctuellement qui concentrent exagérément toute l’attention du moment.

Le problème, c’est nous tous, la société et le microcosme qui ont rendu possibles leurs agissements, de même que les agissements de tous les agresseurs auxquels on passe « tout », c’est-à-dire ce qui est uniquement visible, ce qu’ils font et disent en public, parce qu’ils ont du charisme, du pouvoir ou de l’ascendant, parce qu’on confond parfois « bon vivant » et « intolérablement grossier ». Un agresseur n’est généralement pas assez stupide pour franchir certaines bornes au vu et au su de tous… sinon, ça s’appelle de la complicité pour les témoins.


Ici, je me mets du coté des victimes, délibérément. Par empathie naturelle, je suis du côté des femmes à chaque remarque sexiste ou geste déplacé, je suis du côté des homosexuels à chaque remarque homophobe ou geste déplacé, etc. Je ne dirai jamais « mais qu’il est drôle ! » à une blague misogyne ou raciste ou « quoiquecesoitophobe », tant il est facile de maquiller ses convictions profondes derrière un « ça va, je rigole ! » de circonstance.

Je n’ai pas de doute quand une personne est visée par plusieurs dizaines d’accusations et de témoignages sur le long cours. J’ai étudié les chiffres concernant les viols en France, je sais les estimations du nombre de viols, du nombre de fausses plaintes, du nombre de plaintes tout court et du nombre de condamnations à l’arrivée.

Quand on pense à ce qu’il faut de courage pour accuser quelqu’un publiquement, surtout quand la personne est connue... et que soi-même on n’est personne dans l’espace médiatique, pour moi il n’y a pas de doute. Ce pourrait être juste une question de probabilités : une accusation de viol est fausse dans 5 % des cas environ. Alors deux, c’est bien moins… et onze, douze, treize, quatorze… non, il n’y a pas d’innocent devant de tels nombres. À moins d’un incroyable concours de circonstance.


Je me mets donc du côté des victimes et des accusatrices. Dans un cas comme celui dont on a beaucoup parlé, ce sont elles qui ont besoin de soutien, c’est leur cas qui devrait nous importer, leur réparation, leur protection. Et peu importe, finalement, qui les a agressées si le reste de la société leur refuse sa considération pour des motifs qui n’ont rien à voir avec le sujet. On n’excuse pas un méfait par l’aura de son perpétreur. On ne justifie par un abus par les excès de vie de l’abuseur. Ce sont même des circonstances aggravantes, l’abus de pouvoir ou l’abus de substances, quand il s’agit de justice.

Il ne suffit pas d’avoir des témoins de moralité qui jurent n’avoir jamais été agressées par la personne visée. Je me permets de citer le remarquable et provocateur Jean-Michel Truong en la matière : « si on doit compter toutes les femmes qu’il n’a pas violées, on n’a pas fini ». C’est une mauvaise défense pour un agresseur que de dire de lui qu’il n’a pas agressé tout le monde. Ou bien c’est un ultime soubresaut.


Et justement, en parlant de ça :

« Laissons la justice faire son travail », me dit-on.

Il faudrait déjà qu’elle le fasse, qu’elle ait le temps et les moyens de le faire. Mais d’accord, laissons-la. D’accord, mais à une seule condition : que les consciences fassent leur travail également, qu’on cesse de désigner les victimes comme co-responsables de l’agression. Que la société fasse son travail, en protégeant les victimes par l’intransigeance. Que les familles fassent leur travail avec l’éducation nécessaire donnée aux garçons… et aux filles, pour le respect de l’intégrité d’autrui.

Si nous ne faisons pas ce travail, qui n’est pas du ressort des tribunaux, le travail de ces derniers ne servira à rien.


Et ce n’est pas la peine de m’invoquer la « présomption d’innocence » concernant l’affaire médiatisée du moment ou tout autre affaire. Je n’ai que faire de cette présomption d’innocence, c’est une notion juridique qui concerne les tribunaux, pas moi. Je ne mets personne en accusation, je n’appelle pas au lynchage médiatique ni public, je ne cite pas de nom pour éviter d’exciter les algorithmes et les foules. Je n’ai pas à me montrer autrement prudent au nom de cette présomption d’innocence souvent brandie pour faire taire tout le monde sur un sujet qui dérange.

Je choisis simplement de croire les victimes et accusatrices, qui par leur courage ont tendu leur joue à la vindicte globale, et qui se retrouvent à nouveau invisibles et seules face au combat qui se déroule sous leurs yeux pour savoir s’il faut aimer ou détester l’homme qui les aurait agressées.

Que valons-nous en tant qu’humains si nous ne sommes pas capables en premier lieu de reconnaître et de protéger la souffrance d’autrui ? On me répondra que les agresseurs sont eux aussi des gens qui souffrent et que c’est pour ça qu’ils se comportent de telle façon... raison de plus pour ne pas les laisser faire, pour les confronter, les affronter et les aider ainsi à sortir de leur souffrance personnelle qui ne doit pas passer par la souffrance d’autrui.


Je dis ça parce que j’ai moi aussi beaucoup souffert autrefois et fait souffrir par contrecoup mon entourage par mes attitudes, mes fuites ou mes mensonges.

Je dis ça parce que j’ai moi-même été agressé il y a très longtemps et que je n’ai pas pu réagir ni parler sur le moment.

Je dis ça parce que je sais ce que c’est que la pression sociale, la peur du jugement, la honte ou la mémoire traumatique.

Je dis ça par ce que nombre de mes connaissances (en tout cas celles qui l’ont exprimé) ont été agressées et qu’il n’y a presque jamais eu de conséquences pour leur(s) agresseur(s).

Je dis ça parce qu’il n’est pas interdit de croire que les choses peuvent s’améliorer, si au moins les non-agresseurs pouvaient solidairement décider de dire non collectivement, de soutenir les victimes et de cesser d’avoir des attitudes d’esprit de corps ou des réflexions alimentant ce qu’on appelle communément la culture du viol.

Nous sommes très loin du compte en la matière. On continue à empiler des lieux communs autour des notions de « faut-il séparer l’homme de l’artiste, du boulanger, du ministre ou de l’avocat ? »

On continue à participer involontairement en étant parfois maladroits sur l’air de « tu étais habillée comment ? », « mais tu savais qu’il ne fallait pas aller chez lui ! » ou d’autres phrases qui n’aident ni la victime à se sentir mieux ni la société à mieux se comporter.


Ceci est mon appel : arrêtez de parler de l’individu poly-accusé du moment, parlez du sujet dans sa globalité, étudiez les chiffres, interrogez vos mentalités et vos réactions, regardez en face vos propres attitudes, soyez solidaires des victimes. Toute personne intelligente, c’est-à-dire quasiment tout le monde sur cette Terre malgré ce qu’on dit de vous, toute personne intelligente doit pouvoir faire ça sans appeler au lynchage d’une personne qui effectivement n’a pas encore été jugée. Sinon, comme l’a dit justement (mais un peu tard) Jacques Weber : c’est un deuxième viol.

Ce n’est pas un épiphénomène dont nous parlons, mais un fléau qui, selon des chiffres officiels, va toucher 300.000 femmes par an (par an, bon sang !) rien qu’en France, pour ce qui concerne les violences conjugales, violences d’ex-conjoints et les viols.

https://arretonslesviolences.gouv.fr/je-suis-professionnel/chiffres-de-reference-violences-faites-aux-femmes#:~:text=En%20moyenne%2C%20le%20nombre%20de,ou%20actuel%2C%20cohabitant%20ou%20non.


Je ne peux pas m’y résoudre sans rien dire et je ne peux pas lire des tribunes de soutien inconditionnel aux agresseurs sans me demander ce qui les motive et comment y répondre.

Je ne suis pas un tribunal, je ne suis pas un lyncheur, je suis un homme qui prend pour lui toutes les violences inutiles de la société dans laquelle il vit.

Dites-moi que pour vous, c’est pareil.

Dites-moi que vous voulez que ça change vraiment.

PROGRAMME 2025 STAGES D'ÉCRITURE colorés de stylistique

Enfin le retour des stages d'écriture ! Tout le programme 2025 est disponible ci-dessous, avec les renseignements associés : STAGES  D...