Vous connaissez toutes et tous ce fameux proverbe :
"Fontaine, je ne changerai jamais ma chemise d'épaule".
Inutile de le traduire en français simplifié, le sens en est limpide. En effet, j'ai accompli hier quelque chose que je n'aurais jamais pensé faire : m'inscrire sur un grand réseau social vachement connu dont tout le monde cite le nom en disant qu'on n'a pas le droit de le nommer publiquement.
Ce sont deux personnes, un éditeur et une artiste, qui m'ont convaincu de l'intérêt de la chose. Le premier s'est dit "presque prêt" à éditer un de mes romans, à la condition plus ou moins explicite que je "dispose d'un réseau". La seconde m'a juré qu'on pouvait utiliser la chose comme un formidable outil de communication sans sombrer dans les dérives dont on parle partout. En d'autre termes, "il n'y a pas de mauvais outil, il n'y a que des mauvais artisans".
Borné comme je ne le suis plus, j'ai décidé de franchir le rubis qu'on m'avait mis devant le nez, tout en me disant que j'arrêterais si l'inscription était par trop... intrusive.
Je me suis aperçu que ce qu'on reproche habituellement à ce réseau, ce sont des mauvais usages. Je ne suis pas obligé d'y mettre mes coordonnées personnelles. Je ne suis pas obligé de lire les publicités ciblées, mais discrètes, qu'on me colle par défaut dans le bandeau droit. Je ne suis pas obligé de raconter ma vie, ni de mettre des photos de moi nu, ni de dire du mal de mon prochain en le nommant... Je n'ai que deux contraintes absolues :
Donner une adresse électronique valide.
Rester correct avec autrui.
Ca me va. J'ai ouvert ce compte pour faire connaître mon écriture à plus grande échelle et pour me montrer gentil avec autrui.
Et si un jour je m'apercevais que cet outil s'est fichu de moi, je m'en irais. Un imbécile qui change d'avis deux fois n'amasse pas mousse.
Ce dernier proverbe est dirigé tout particulièrement vers G, A, B, H et E, entre autres, avec lesquels je rêve de prendre une bonne mousse dans un genre de campagne boisée... A bons entendeurs... Vous pouvez venir accompagnés, évidemment.
Soyez heureux, sur ou hors le réseau !
L'envers du verbe sera consacré à mes activités professionnelles en tant qu'auteur, linguiste, animateur et interprète
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On m'a aussi convaincu - conne vaincue- puisque j'y suis allée, sur les réseaux sociaux.
RépondreSupprimerAlors? FB: le meilleur moyen de parler pour ne rien dire à un mur.
TW??? Ch'ais pas... finalement j'y vais jamais... rien à dire...pourtant ici, ça va...
Sais pas me "vendre" p'têt'...:o)))
Je ne me sens pas con vaincu. ET pas encore convaincu, bien que cela puisse venir.
RépondreSupprimerJ'insiste : pour moi, c'est un outil.
FB : on peut tout faire avec. C'est un peu le problème, d'ailleurs. Monopole et compagnie, difficile à contrer...
TW : pas compris l'intérêt. Je passe complètement à côté. Les Tw qui font l'info, ça m'échappe grave.
Bref, ma vie n'a pas changé, j'ai juste un outil supplémentaire pour travailler.
merci de ta visite
RépondreSupprimerje suis plus sur françoise pain lamangou
je t'embrasse c'est un peu decevant
Oui, mais un homme averti, dix de retrouvés.
RépondreSupprimerC'est la devise du grand réseau qu'on ne peut nommer^^
Alors là, les bras Moutomble ! ;)
RépondreSupprimerEeh oui, ces outils sont hélas devenus incontournables pour nombre de personnes. Si ça peut te rassurer, j'ai moi-même dû m'y coller pour un projet scientifique...
Nooooooooon !! Bon, ça casse pas trois briques à un canard...
GBises mousseuses
C'est noté Frankie ;) Bises, et effectivement dommage pour samedi prochain.
RépondreSupprimerJe vois que tu as saisi le ton général, deef, comme d'habitude ;)
G : Je suis surtout content que tu ne me jettes pas la pierre, mon cher. Parce que je n'ai pas de remords. Après tout, je suis un "professionnel" et je dois conséquemment utiliser les outils nécessaires à l'épanouissement de mon travail ;)
SBises.