mardi 18 octobre 2011

L'écologisme de la joie : Idée reçue numéro 1

Petite précision en guise de préambule : le traité d'écologisme de la joie que j'élabore refuse de se prendre au sérieux. Mon premier objectif est de m'amuser en détricotant certains aspects de l'écologisme (et de l'anti-écologisme) au nom duquel on dit parfois n'importe quoi.
Ceci étant dit, je ne m'interdirai pas d'être de mauvais foi, et je risque de manier l'ironie aussi souvent que son contraire.
Deuxième petite précision : Les chroniques présentées sur ce blogue sont incomplètes. Pour la version longue, espérons ensemble l'écriture de l'ouvrage complet :)

Idée Reçue Numéro 1 : "Il faut préserver l'environnement pour les générations futures"

A cela, je dis non.

La première raison est limpide : il y a toujours une génération future à toute génération. Il  n'est donc pas urgent d'agir puisque ce sera à la génération future de s'occuper des générations futures...
Mais il y a pire, si je puis dire. Parler de générations futures induit une culpabilisation de ceux qui, au présent, n'auraient pas une conduite exemplaire en matière d'écologisme. Nous détruisons le monde de nos enfants, nous tuons nos enfants, nous sommes des monstres... Ce discours en filigrane est contre-productif, j'y reviendrai souvent en décryptant d'autres idées reçues.
Pour celle qui nous intéresse aujourd'hui, il n'y a qu'une réponse cohérente : nous ne DEVONS pas agir pour les générations futures, nous DEVONS agir pour nous-mêmes. Pourquoi ne pas envisager que nos "efforts" sont notre propre bienfait ? Ne serait-il pas plus agréable de mieux respirer, de mieux manger, d'être moins malades, d'avoir un air plus sain, une eau plus propre et les mains plus douces, tout ceci dès à présent ?
En raisonnant ainsi, rien n'empêche de penser que nous agissons également pour les générations futures. Ce n'est cependant plus la priorité. Place au vivant, place au bien-être. Après tout, comme me le suggérait une récente commentatrice, point n'est exclu que les générations futures ne choisissent de détruire l'environnement par simple goût ou choix de vie. Alors, pourquoi anticiper sur leurs aspirations alors que nous connaissons déjà si peu celles de nos contemporains ?

Pour conclure, "Il ne faut pas préserver l'environnement pour les générations futures", il faut le préserver pour les générations actuelles, pour nous, pour nous sentir mieux. Nous transmettrons plus qu'un environnement sain : un esprit sain.

lundi 17 octobre 2011

L'écologisme de la joie : 100 idées reçues et 100 solutions pour l'avenir de l'humanité

Ainsi que le dit explicitement le titre de ce post, l'envers du verbe avait pour vocation première d'être l'écrin de "l'écologisme joyeux", dont la mission est d'avoir et de donner envie de sauver l'humanité et la planète dans le plaisir et le contentement de vivre.
Cette manière de penser et de prescrire va à l'encontre d'une image négative de l'écologisme, parfois entretenue par les écologistes eux-mêmes, idée selon laquelle il faut se priver pour ne pas abîmer. Se priver et souffrir. Manger bio et faire la gueule. Moins consommer et s'aigrir.
Or, je l'ai souvent dit sur ce blogue, l'écologisme ne triomphera que s'il arrive à faire la preuve qu'il peut se parer de joie et de bonne humeur.
Dans l'optique d'une démonstration complète, j'envisage l'écriture d'un ouvrage amusant et partisan intitulé : "Pour un écologisme de la joie : 100 idées reçues et 100 solutions pour préserver l'environnement parce que cela nous rend heureux". L'envers du verbe sera en quelque sorte la vitrine de cet ouvrage que j'élaborerai au fil des jours, sans intention particulière de l'achever (mais on ne sait jamais).

Pour commencer fort, je vous proposerai demain le traitement l'idée reçue numéro 1 :
"Il faut préserver l'environnement pour les générations futures"

En attendant, soyez heureux, même si vous êtes écologistes.

dimanche 9 octobre 2011

Fainéant 1.0

L'on m'a fait remarquer que j'ai honteusement recopié le message de mon blogue I sur le II ;))

C'est un cas isolé, je ne compte pas dupliquer systématiquement les chroniques, car sinon l'on pourra me demander :
"Pourquoi as-tu deux blogues ?"

Eh bien, chère madame, je pense que mon rendez-vous avec mes compatriotes ne saurait se résumer à un seul canal de communication.
Non ?

samedi 8 octobre 2011

À longs ans, fend de l'appât tri

Mes chers compatriotes,

Je suis en mesure d'annoncer que demain, dimanche 09 octobre 2011, dans plus de 10 000 villes de l'hexagone et autant de localités du monde entier, se produira la reprise en main du présent blogue et de son homologue "le verbe au vert".
Pour bénéficier de l'accès à leur contenu, il sera conseillé à chacun d'être majeur et inscrit sur les listes électorales. Il vous faudra en outre signer (moralement) une charte d'adhésion aux valeurs de shaton, et vous engager à lui verser au moins un euro (moralement).
Cet engagement (moral) qui sera, je n'en doute pas un instant, le vôtre, rencontrera sa récompense par le retour à un rythme régulier et soutenu de la mise à jour de mes espaces publics d'expression.

Nul de vos commentaires ne sera ignoré. Tous, sans exception, serez honorés pour la confiance et l'amitié que vous me ferez en me choisissant dès le premier tour de blogue.

Vive les bananes, vive les chanteuses qui se prénomment Barbara sans forcément porter patronyme, vive la transe,

Votre candidat, pour vous, avec vous et jusqu'au bout.

Shaton (bruits confus d'applaudissements nourris)