Ainsi que le dit explicitement le titre de ce post, l'envers du verbe avait pour vocation première d'être l'écrin de "l'écologisme joyeux", dont la mission est d'avoir et de donner envie de sauver l'humanité et la planète dans le plaisir et le contentement de vivre.
Cette manière de penser et de prescrire va à l'encontre d'une image négative de l'écologisme, parfois entretenue par les écologistes eux-mêmes, idée selon laquelle il faut se priver pour ne pas abîmer. Se priver et souffrir. Manger bio et faire la gueule. Moins consommer et s'aigrir.
Or, je l'ai souvent dit sur ce blogue, l'écologisme ne triomphera que s'il arrive à faire la preuve qu'il peut se parer de joie et de bonne humeur.
Dans l'optique d'une démonstration complète, j'envisage l'écriture d'un ouvrage amusant et partisan intitulé : "Pour un écologisme de la joie : 100 idées reçues et 100 solutions pour préserver l'environnement parce que cela nous rend heureux". L'envers du verbe sera en quelque sorte la vitrine de cet ouvrage que j'élaborerai au fil des jours, sans intention particulière de l'achever (mais on ne sait jamais).
Pour commencer fort, je vous proposerai demain le traitement l'idée reçue numéro 1 :
"Il faut préserver l'environnement pour les générations futures"
En attendant, soyez heureux, même si vous êtes écologistes.
L'envers du verbe sera consacré à mes activités professionnelles en tant qu'auteur, linguiste, animateur et interprète
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Excellente idée. Au plaisir de te lire.
RépondreSupprimerOui, certes! Mais si un dinosaure écolo avait eu l'idée de préserver son environnement et partant son espèce, on serait quand même pas mal em... aujourd'hui... Imagine, un dinosaure distrait, qui se promène vers chez toi, et qui d'un pas nonchalant écrase ta maison?
RépondreSupprimerRien ne dit que les futures générations aimeront l'environnement que nous aimons...
J'ai oublié de signer:
RépondreSupprimerUne écologiste heureuse
Respectueuse de l'environnement depuis toujours je n'aime pas beaucoup l'expresion que tu as choisie et qui rappelle l'effroyable : le travail dans la joie...
RépondreSupprimerBise.
Merci Marico, j'arrive :))
RépondreSupprimerHélas, Pomme, je pense que l'humain aurait fait en sorte de faire disparaître les dinosaures si ceux-ci avaient survécu...
Et d'ailleurs, la réponse que je donne à mon idée reçue n'est pas forcément celle que tu as anticipé ;)
Mais, manouche, je n'ai pas du tout employé le mot "travail". Et si l'on doit se priver du mot "joie" pour éviter les mauvais souvenirs, autant refondre le vocabulaire tout entier, parce qu'il y en a, des vieilles connotations moisies...